Le métier de traducteur est un métier indispensable. Si vous êtes proactifs et que vous travaillez dans une paire de langue émergente, il sera très facile de remplir vos journées de nombreux contrats. Pourtant, l’univers de la traduction est une véritable jungle et il n’est pas facile de s’y retrouver. Dans cet article, nous vous donnons quelques conseils importants si vous souhaitez devenir traducteur.
Se former
Bien entendu, la formation est l’étape la plus importante du métier de traducteur. Il existe de nombreuses écoles de traduction, mais aussi des formations en ligne pour se spécialiser dans un type de traduction précis. Vous pouvez vous former à une spécialité qui sera vecteur de nombreux contrats : juridique, médical, financier. Les besoins sont récurrents et vous pourrez afficher des tarifs plus élevés, car il s’agit d’une spécialité convoitée.
L’objectif sera de maîtriser au moins un secteur d’activité pour connaître toutes les terminologies liées à celui-ci. Vous pouvez par exemple vous aider de glossaires techniques spécialisés qui vous aideront à connaître tous les mots clés importants. Il faudra tout faire afin d’obtenir un diplôme ou un certificat de formation que vous pourrez mettre en avant dans votre CV et sur LinkedIn. Ce diplôme est très important, car il permettra d’attirer la confiance de vos clients qui viendront pour obtenir une traduction de grande qualité.
Déterminer votre statut de traducteur
Grâce à ce diplôme, vous pourrez exercer votre activité de traducteur. Plusieurs solutions sont possibles pour travailler en tant que traducteur, il faudra cependant disposer d’un cadre légal afin de facturer. Vous avez la possibilité de créer une auto-entreprise qui vous permettra d’envoyer des factures et de payer des charges dans un cadre légal relativement souple. Cette formule vous contraint cependant à rentrer un chiffre d’affaires inférieur à 35 000 €, mais c’est déjà un très bon début ! Si vous envisagez un chiffre d’affaires supérieur, il est tout à fait possible de créer une SAS ou une SARL qui vous permettront de facture. Cette entreprise, personne morale, nécessite cependant des obligations administratives et fiscales un peu plus importante, notamment si vous comptez vous verser un salaire. La SAS offre un cadre juridique plus lourd si vous souhaitez vous prendre un salaire, car il faudra automatiquement vous salarier. La SARL, quant à elle, vous permettra de vous prendre une rémunération en tant que gérant. Cela vous permet de faire varier votre rémunération selon le chiffre d’affaire mensuel que vous rentre dans votre structure.
Trouver des contrats
Une fois votre entreprise de traduction créée, il faudra alors trouver des contrats. Pour cela, plusieurs solutions s’offrent à vous. Vous pouvez par exemple démarcher des entreprises ou des contacts en direct via LinkedIn. Il est aussi possible, comme le font de nombreux traducteurs, de démarcher une agence de traduction avec laquelle vous pourrez instaurer une collaboration sur le long terme. Concevez un site Internet et publiez des articles pour être visible. En vous positionnant sur de bons mots clés, vous pourrez alors attirer du trafic et gagner de nouveaux clients naturellement. Il est souvent difficile de trouver ses premiers contrats, cela fait partie du jeu. Si vos services sont de qualité, vous aurez cependant des clients fidèles qui resteront avec vous et pourrons collaborer sur le long terme.
Pour conclure
Devenir traducteur est une expérience très enrichissante et valorisante. Si vous êtes bilingue où que vous êtes passionné par les langues vivantes, se former dans l’univers de la traduction est une bonne solution pour trouver rapidement de nouveaux clients. Si les démarches peuvent vous sembler fastidieuse, vous serez vite récompensé par l’obtention de nouveaux contrats. Avec un service professionnel, vous pourrez conserver vos clients durant de nombreuses années !